ENGINEERINGNET.BE - Une équipe de recherche internationale menée notamment par le CNRS a réussi par des calculs théoriques à montrer qu’il est possible de réaliser un nouveau type de qubit où l’information est stockée dans l’amplitude d’oscillation d’un nanotube de carbone.
Elle aurait réussi à prouver qu’il est possible de lire cette information en exploitant le couplage entre les électrons, une particule chargée négativement, et le mode de flexion de ces nanotubes.
Ces prédictions théoriques restent désormais à vérifier expérimentalement.