ENGINEERINGNET.BE - Vecteur d’énergie techniquement viable et transportable, l'hydrogène propre peut jouer un rôle important pour atteindre les objectifs de la transition énergétique vers les énergies renouvelables.
Le séminaire de cinq jours (du 9 au 13 octobre) a proposé une série de conférences, données par des professeurs et chercheurs de l'X ainsi que d’autres institutions européennes partenaires.
Réunissant plus de 30 doctorants des six universités européennes membres de l’alliance EuroTech dont l'X, l'Université Technique du Danemark (DTU), l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), l'Université technique de Munich (TUM), l'Université de technologie d'Eindhoven (TU/e) et l’institut de technologie d'Israël (Technion), le séminaire a fourni le cadre pour un échange international.
Le programme a d’abord été axé sur une étude approfondie de la chaîne de valeur de l'hydrogène ainsi que de ses implications géoéconomiques et géopolitiques.
Plusieurs sessions de conférence ont mis en lumière les défis liés à la recherche d'une chaîne de valeur de l'hydrogène viable et propre, c’est-à-dire faiblement carboné, afin de limiter et éviter la production d'hydrogène par transformation des énergies fossiles.
La visite de l'installation du synchrotron SOLEIL, située à proximité du campus de l'École polytechnique, était au programme de la seconde journée du séminaire.
L'installation du synchrotron est gérée par une société civile détenue par le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et le Commissariat à l'énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA).
Plusieurs conférences sur les différentes techniques de production de l'hydrogène, dont notamment l'électrolyse de l'eau étaient au programme des journées suivantes.